👋 Salut Les petits résistants ! Ça y est on est venus à bout de ce mois de janvier qui n’en finissait plus. 153 d’entre vous en ont profité pour nous rejoindre depuis le dernier numéro, et ça c’est une belle résolution. Enchantée et bienvenue dans la bande (faire-part de naissance par là) !
💦🚰 Un mot d’intro sur le décryptage d’actu qui m’a le plus chauffée : celui du scandale des eaux. Depuis quelques mois, je me disais qu’avec les affaires se succédant sur le sujet, je serais bien en peine de faire un choix si j’avais des biberons à donner à un mignon nouveau-né. Normalement ce n’est pas le genre de la maison d’aborder des sujets plombants en vous laissant les bras ballants. Mais force est de constater que sur le match eau en bouteille versus eau du robinet, il n’y a pas de solution toute faite. Jusqu’à maintenant en tout cas. Vous trouverez plus bas de quoi vous immerger dans le sujet et vous faire votre propre idée des arbitrages à effectuer. FORCE.
PS. Pour les parents de petits bébés, rappel utile de l’ANSES sur le B.A-BA de la prépa biberon, par ici.
💃 Merci à Stéphanie Daniel (son portrait à retrouver) pour la sélection livre qui suscitera des vocations 👩🔬🔭🔬 et à Anne-Charlotte Hartmann de nous servir sur un plateau le sujet passionnant de l’éducation textile aux enfants👔👗. Who runs the world ?
📆 Au prochain numéro, prenez note, on vous invitera à mettre vos enfants dehors. D’ici là…
🧡 Bonne lecture à toutes et à tous !
Au sommaire
En tête à tête avec Anne-Charlotte Hartmann, bien dans ses baskets
L’actu qu’il fallait pas louper : eau secours !
Le récap’ en vrac d’infos engagées à consommer sans modération
La sélection cadeau : femmes de sciences à l’honneur
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🧡 En tête-à-tête
Entretien avec une personnalité qui fait bouger le monde. De quoi semer les graines de l’engagement et cultiver l’optimisme.
Dans ce numéro je rencontre Anne-Charlotte Hartmann, directrice de l’association Studio Abi, convaincue que la pédagogie du vêtement et celle par le vêtement sont un formidable vecteur de compréhension du monde et un bon moyen de le faire bouger. Enfilez vos baskets. On part explorer le chemin de l’éducation textile !
Le textile partout tout le temps
Au fil des années à travailler au sein d’agences de communication et en design de marques, à côtoyer les plus grands acteurs du monde de luxe, Anne-Charlotte s’intéresse au sujet du savoir-faire et de l’artisanat dans le monde du textile et s’interroge sur “son goût à l’émerveillement” : “J’ai voulu comprendre pourquoi j’étais aussi sensible aux livres, à la musique, qu’à un morceau de tissu et je me suis interrogée sur la notion de transmission. D’où cela me venait-il ?” Avec ses enfants son intérêt se décuple car elle réalise que le sujet du vêtement est partout dans la culture matérielle de l’enfant : les vêtements comme alliés ou freins à l’acquisition de l’autonomie chez l’enfant, à l’intégration ou non des plus grands dans le groupe. Ou encore les vêtements comme vecteur d’investissement de sa parentalité aka le plaisir de constituer le premier dressing de son bébé. Convaincue que les vêtements disent bien des choses de notre société, elle crée le studio Abi, une association qui traite d’un sujet original : celui de l’éducation textile auprès des enfants.
L’éducation textile pour bouger le monde
L’éducation textile pour quoi faire ? Éclairer les plus jeunes générations. Pour qu’elles deviennent parties prenantes de la mode de demain. Mais aussi pour accompagner les professionnels du secteur textile dans leur transformation en donnant une place de choix à cette jeunesse créatrice de valeurs. Car à l’heure où la mode fait sa double révolution (de la seconde main et de l’écoresponsabilité d’un côté, et d’ultra fast-fashion de l’autre), Anne-Charlotte s’interroge : “Comment faire accepter un prix juste aux consommateurs si on ne réalise pas tout le travail qu’il y a derrière la confection d’un vêtement : de la matière première aux techniques de fabrication et sa commercialisation ?” Accompagnée d’anthropologues, elle imagine des ateliers pour conscientiser le rapport aux vêtements et laisser aux enfants la possibilité de découvrir l’existant, manipuler les étoffes en jouant avec, imaginer, créer, inventer.
“Il est important de montrer aux enfants que le vêtement n’est pas un objet fini comme les adultes l'appréhendent”.
Éduquer les enfants à ces sujets est aussi l’occasion d’ouvrir le champ des possibles sur de futurs métiers autour du textile pour lesquels on a désormais du mal à recruter en France. Et ce alors même que l’on appelle à une réindustrialisation en France pour contrer les effets du tout Made in China.
L’éducation textile pour réenchanter le monde
Quand Anne-Charlotte prend la parole pour parler de son engagement, il y a deux mots qui reviennent “l’amusement” et “le lâcher-prise” : “ Il faut retrouver du jeu dans le fait de se vêtir ”. Car au fond pourquoi s’habille-t-on ? "Pour se protéger des intempéries, pour se faire beau, et par pudeur. Ces trois règles-là font que l’on s’intègre dans un processus social. Fort de ce constat, que peut-on ensuite s’autoriser et jusqu’où peut-on aller pour s’affranchir des codes sociaux?” Allez, je pose la question. Qui dans l’assemblée s’est déjà entendu dire non à ses enfants sur une tenue choisie par leurs soins, sous prétexte que les carreaux de la chemise ne s’accordaient pas avec la couleur du pantalon ? Qui a déjà mis des collants coûte que coûte à sa fille au motif qu’un legging avec une jupe c’était vraiment trop moche (oubliant au passage que c’était sûrement cependant plus pratique en termes de motricité et d’autonomie) ? “Si les enfants n'étaient pas nos petits trophées on les laisserait s'habiller comme ils veulent”, tacle Anne-Charlotte. Ouch. Touché. D’accord ou pas d’accord, nous pouvons sûrement tous admettre que le vêtement est une forme de déguisement dont les enfants devraient pouvoir se servir pour prendre confiance. Et être bien dans leurs baskets en somme. On leur laisse la main ?
Du déguisement parlons-en ! Anne-Charlotte regrette que la tradition du carnaval se perde peu à peu dans les écoles, au profit de la célébration d’Halloween, avec des représentations beaucoup plus effrayantes, voire même violentes. “C’est dommage car on perd cette tradition de grand charivari de la société. Le carnaval est un moment où l’on s’autorise tout normalement, et cela a de vraies vertus cathartiques. On peut tout essayer dans un espace temps donné. On a perdu cette forme de lâcher-prise”. Alors au sein de ces ateliers, Anne-Charlotte invite les enfants à essayer des choses et nourrit chez eux une certaine appétence pour le “Do It Yourself” . Elle nous invite à faire de même chez nous : “Ouvrez votre penderie et prenez le temps de jouer et de vous vêtir ensemble ! Toutes les familles n’ont pas des crayons de couleur ou des livres, mais on a tous des penderies. On peut s’amuser à faire des défis déguisés pour ne pas être reconnu ou pour se camoufler par exemple. Il s’agit de jouer tout simplement.”
Mardi gras c’est le 13 février. “Le carnaval c’est se présenter au monde différent. On peut tout essayer, il n’y a pas de risque.” Vous avez le message ? Laisser-aller. Avec un rappel utile : “Ne demandez pas tout de suite aux enfants en quoi ils sont déguisés. Il n’est pas nécessaire de normer avec nos regards d’adultes.” On laisse libre cours à la créativité pour réaliser le rêve de petit résistant de Anne-Charlotte : “Donner les armes aux enfants pour être sensible au beau et à l’émerveillement”. Just do it !
🤓 L’actu qu’il fallait pas louper
Décryptage de l’actu qui m’a le plus chauffée…
😕 Eau my god ! Une enquête conjointe du “Monde” et de Radio France révèle comment l’eau en bouteille d’au moins un tiers des marques d’eau françaises vendues comme “de source” ou “minérale naturelle” a été purifiée pendant des années, avec “des traitements non conformes à la réglementation, notamment en raison de contaminations sporadiques d’origine bactérienne ou chimique”. Les accusés, dont Nestlé, affirment que la sécurité des consommateurs n’a pas été mise en danger et arguent même avoir “enfreint la réglementation pour maintenir la sécurité de ses eaux”, de moins en moins protégées des risques de contamination et de pollution. On n’a plus qu’à y croire.
En attendant, demeurent les cachoteries et la grande duperie des consommateurs. Pourquoi débourser en moyenne 300 euros plus cher pour de l’eau en bouteille versus de l’eau du robinet ? Pour de l’eau pure et de qualité pardi. La promesse semble pourtant de moins en moins remplie alors que dans le même temps les alertes autour de l’eau du robinet se multiplient. Ou comment faire le choix du moins pire ?
🫣 Scandales en cascade : prêts pour l’immersion ?
Eau en bouteille : entre petits arrangements et microplastiques, notre coeur balance
Le dernier scandale en cours sur le manque de transparence de la qualité des eaux en bouteille succède à celui sur les microplastiques.
Sur 9 bouteilles d’eau les plus vendues en France, 7 contiennent des microplastiques. Avec cerise sur le gâteau, un triste record détenu par la Vittel Kids (kids comme une eau qui serait spécifiquement destinée aux enfants… vous avez bien lu) de 33 centilitres : 121 microparticules par litre.
Juillet 2022 - rapport par l’association Agir pour l’environnement
Les taux de pollution aux micro-plastiques des eaux en bouteille sont 100 à 1000 fois plus élevés qu’on ne le pensait jusque là. “Si les gens sont inquiets à propos des nanoplastiques dans l’eau en bouteille, il est raisonnable de considérer des alternatives, comme l’eau du robinet”, conseille Beizhan Yan co-auteur de l’étude.
En janvier 2024 - étude parue dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences
Tout schuss sur l’eau du robinet alors ?
🚰 Eau du robinet : voyages en eaux troubles
Vraiment, j’adorerais vous dire d’ouvrir les vannes les yeux fermés. Mais ces dernières années on a appris que …
20% des Français sont exposés à une eau du robinet «non conforme», en raison de la présence de métabolites, terme désignant les résidus de pesticides
Septembre 2022 - révélation du quotidien Le Monde et du magazine «Complément d’enquête» (France Télévisions)
L’eau potable est largement contaminée par des résidus de pesticides, parfois interdits depuis plusieurs années.
Avril 2023 - rapport de l’Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES)
Des PFAS dans l’eau potable.1 Les PFAS (= les per et polyfluoroalkylées) sont selon l’ANSES des substances aux propriétés chimiques spécifiques utilisées dans de nombreux produits de la vie courante (vêtements techniques, mousses à incendie, emballages alimentaires, etc.) Extrêmement persistants, les PFAS se retrouvent dans tous les compartiments de l’environnement et peuvent contaminer les populations à travers l’alimentation ou l’eau consommée. D’où leur surnom pas du tout mignon de “polluant éternel”.
Aujourd’hui, les PFAS ne sont pas recherchés lors des contrôles de l’eau courante. Il faudra attendre 2026 (date fixée par la Directive européenne 2020/2184) pour savoir si l’eau potable est contaminée par les PFAS.
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🥛 Et on boit quoi, alors ?
Un scandale en chassant un autre, il n’y a pas de réponse toute faite dans le bazar ambiant. À vous de faire votre arbitrage santé/environnement en fonction de vos convictions, vos angoisses (hein disons le) et probablement le lieu où vous habitez.
👉 D’un point de vue écolo
Il n’y a pas photo, ouvrez votre robinet et zappez les bouteilles qui sont un désastre environnemental. Dans le monde, un million de bouteilles en plastique sont achetées chaque minute et à peine la moitié sont recyclées. On vous passe le refrain sur la pollution des océans et les poissons qui prennent des shots de plastique à l’apéro. Vous l’avez.
👉 D’un point de vue santé
Il peut y avoir des PFAS et des pesticides dans l’eau du robinet apparemment oui parfois, en fonction des régions. Y a-t-il des PFAS dans l’eau en bouteille ? L’histoire ne le dit pas (encore). Y a-t-il des microplastiques dans l’eau en bouteille? Oui.
L’important étant donc de se renseigner. Pour Céline ISSEN, médecin de formation et consultante en santé environnement : “Si j'ai la certitude que je suis dans un environnement pollué, je peux me poser la question d'un système de filtration ou de l’achat d’eau en bouteille.”
Se renseigner : outil en ligne des résultats du contrôle sanitaire de la qualité de l’eau potable commune par commune, carte interactive des sites de contamination aux PFAS détectée et présumée en Europe (ne veut pas dire que l’eau est forcément contaminée mais donne des indices sur les questions à se poser quand on habite à proximité immédiate de ces sites).
Sur la question des filtres :
les carafes filtrantes comme Brita ont une utilité très limitée selon l’ANSES (voir nuisible si on ne respecte pas les règles de bon usage). Pas d’eau issue de carafe filtrante pour la préparation des biberons. ⚠️
les autres systèmes de filtration sur les arrivées d’eau ou cuves (type Berkey)
peuvent présenter certaines garanties sur la filtration d’éléments polluants. Néanmoins, concernant les PFAS, précise Céline ISSEN : “À ma connaissance aujourd’hui, il n’existe pas de système de filtration (à destination des particuliers) qui ait démontré par des études menées par des laboratoires indépendants qu’ils filtrent effectivement les PFAS”. Affaire à suivre. De toute façon, on préfère se dire que les pouvoirs publics traiteront le problème à la source (en 2026?) et qu’il n’appartiendra pas aux consommateurs de s’équiper individuellement. Ça serait fort de café, et parfaitement injuste pour la majorité de la population qui n’aurait pas les moyens de l’équipement.
Force à vous. Et à la vôtre hein !
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Allez viens, on est bien. 💌
🗞️ Le récap’
Un condensé d’infos engagées à consommer sans modération.
👉 Casse-gueule, et alors ? La Société canadienne de pédiatrie vient d’émettre de nouvelles directives en faveur du « jeu risqué ».
Elle encourage les enfants à grimper dans les arbres, à faire du vélo à grande vitesse, à explorer les aires de jeu, sans la supervision d’un adulte ou avec une supervision limitée. Elle estime que les avantages du « jeu risqué » surpassent les risques de blessures. « Il y a de plus en plus de données qui montrent à quel point ça pourrait aider à diminuer l’anxiété, à améliorer la forme physique », indique la Dre Beaulieu, qui est l’autrice principale de ces directives. Elle explique que le « jeu risqué » permet à l’enfant d’être « maître de son activité » et de « repousser ses limites ». « Décider de monter un peu plus haut, de courir un peu plus vite, de s’éloigner, d’aller se cacher davantage… Cette gestion de l’incertitude est bénéfique », souligne-t-elle. Allez ouste, dehors !
👉 Dans une tribune publiée dans Le Monde le 2 février dernier, des médecins, politiques, membres d'association environnementales appellent à créer un “GIEC de la pollution chimique”, équivalent du groupe d'experts internationaux sur le climat, pour améliorer la connaissance des effets des produits chimiques sur la santé.
"Les femmes enceintes et les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables. Et pourtant, alors que la connaissance des maladies n’a jamais été aussi développée, celle des effets de la pollution chimique sur notre santé reste très lacunaire", souligne la quinzaine de signataires de la tribune.
👉 Ça fait tousser. Une étude de Santé Publique France révèle que des milliers de cas d’asthme chez les enfants seraient causés par l’état des salles de classe.
“Près de 30 000 cas d’asthme seraient évitables chaque année chez les enfants de 6 à 11 ans en réduisant l’exposition au formaldéhyde notamment via des actions d’aération-ventilation de l’air” assurent ses auteurs. “La qualité de l’air intérieur, un réel enjeu sanitaire qui doit être davantage considéré”.
Plusieurs solutions sont suggérées comme « l’intégration de critères sanitaires et environnementaux dans le choix des matériaux, meubles ou fournitures scolaires utilisés dans les salles de classe », pour limiter l’exposition au formaldéhyde ou à d’autres composés organiques volatils, ou encore l’aération systématique des salles de classe “geste qui avait été également rappelé comme essentiel en milieu scolaire lors de l’épidémie de Covid”.
🎁 C’est cadeau !
Parce que vous avez mieux à faire que des recherches Google, Stéphanie Daniel, fondatrice de la librairie jeunesse Les livres qui sèment, sélectionne pour vous 5 ouvrages sur les femmes et les sciences.
A l’occasion de la journée internationale des femmes et des filles de science du 11 février, un cadeau clé en main pour vous avec cette sélection de livre qui aidera à promouvoir auprès des plus jeunes une image plus inclusive des filières scientifiques #rôlesmodèles. Rappelons que bien que les femmes aient réalisé d’immenses progrès quant à leur participation dans l’éducation supérieure dans le monde, elles restent sous-représentées dans ces catégories scientifiques. Ceci est principalement lié à la vigueur et à la permanence des stéréotypes (“les filles sont naturellement plus nulles en math que les mecs”? Faux.)
À vos livres !
Ada Lovelace - à partir de 5 ans
Née en Angleterre en 1815 d'une mère mathématicienne, Ada rêvait d'engins volants quand elle avait 12 ans. Auprès de Charles Babbage, inventeur de la machine à calculer, Ada conçoit un programme pour faire effectuer des tâches à une machine. Elle devient la première programmeuse informatique, à l'origine de l'ordinateur 1 siècle plus tard !
Le secret de l'Océan, la grande découverte de Marie Tharp - À partir de 6 ans
Petite, Marie s'imagine explorer les océans. Géographe dans un laboratoire d'exploration des fonds marins, elle reporte les données sur une carte. On est en 1957 et son travail révèle une faille géante sous l'océan : les continents se déplacent ! Personne ne veut la croire, pas même le commandant Cousteau qui envoie des caméras au fond de la mer pour prouver au monde qu'elle a tort...
Rien n'arrête Sophie, l'histoire inébranlable de la mathématicienne Sophie Germain - à partir de 7 ans
Née sous la Révolution, Sophie se passionne très tôt pour les mathématiques, jadis réservées aux garçons. Elle étudie à l'Académie des sciences sous le nom de Mr Le Blanc, mais ses résultats surprenants attisent la vite curiosité. Sophie est démasquée ! Elle est la seule à résoudre le mystère des schémas de vibration, des équations complexes utilisées aujourd'hui dans toutes les constructions.
Femmes scientifiques - à partir de 9 ans
Un recueil de 23 portraits de femmes scientifiques à travers les époques et les continents. Un album majestueux de la série Femmes Inspirantes de Anne Lanoë et Alice Dussutour, avec cette fois-ci, la volonté de mettre en lumière ces scientifiques dont certaines ont été oubliées et invisibilisées parce que femmes.
La cerise dans le labo - à partir de 10 ans
Un ouvrage préfacé par Claudie Haigneré, astronaute, ancienne ministre et présidente universitaire pour engager les filles dans les filières à fortes valeurs ajoutées, telles que pour ici, les "sciences dures". 13 parcours de femmes françaises sous format BD, mis en forme par 13 bédéistes femmes également, aux styles très différents. Un ouvrage clé pour contrer les préjugés des femmes dans les sciences et ouvrir la voie à de belles carrières !
Suite au prochain numéro !
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