N°10 - ✌️On ne peut pas tromper 1000 fois 1 personne mais on peut tromper...
Franc-parler écolo et double dose de sucre ✊🍯.
👋 Oyez ! Oyez ! Time flies. Déjà 10 numéros du média 🙌🧡. Merci de votre fidélité (je vous vois, vous qui cliquez 👀), vos encouragements (je croque vos messages enjoués), et vos questionnements (je ne craque jamais de devoir argumenter). Vous me plaisez drôlement.
🧡 Pas question de verser dans la routine, une relation ça se travaille. Alors voici un brin de nouveauté avec un format de contenu (directement inspiré de ma lecture de l’excellente newsletter Le Plongeoir) qui j’espère ravira vos oreilles.
🗣️ J’ai choisi de donner littéralement la parole à des experts. Des petites notes vocales, aussi instructives qu’efficaces, dont je fais le pari qu’elles pourraient même séduire les plus allergiques aux blablas WhatsApp. Vous me direz ! Rendez-vous dans l’actualité décryptée pour écouter la première prise de parole d’experte. Un grand merci à Sophie Janvier, diététicienne-nutritionniste et autrice de La Méthode douce pour mieux manger (éditions Leduc), pour ces conseils très concrets. ⬇️
💚 Bonne lecture à toutes et à tous. À dans 15 jours dans vos boîtes mail - place à la cannelle et à Noël - et à tout de suite sur les réseaux !
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Au sommaire
En tête à tête avec Céline Réveillac, le franc-parler écolo
L’actu qu’il fallait pas louper : over sucré
Le récap’ en vrac d’infos engagées à consommer sans modération
Débunkage de fausse bonne idée : coup de bambou
Notre sélection vêtements à louer
🧡 En tête-à-tête
Entretien avec une personnalité qui fait bouger le monde. De quoi semer les graines de l’engagement et cultiver l’optimisme.
Dans ce numéro, je rencontre Céline Réveillac, reine de la communication sans langue de bois qui milite pour le franc-parler écolo. Elle nous parle greenwashing et communication responsable. Entretien.
Il y a 15 ans, Céline Réveillac s’embarque dans des études de marketing et communication. Elle y apprend tout des meilleures techniques pour (faire) vendre un maximum, avec des spots de publicité bien ficelés de 30 secondes. Déjà sensible aux questions écologiques, elle s’étonne alors que ces enseignements ne soient jamais mis en perspective avec les enjeux environnementaux ou même les droits des consommateurs à ne pas être… entourloupés. Après un mémoire sur la thématique de la consommation durable, elle décide d’ouvrir un blog sur le thème du greenwashing et se forge vite une petite réputation de serial “épingleuse de marques”. Boum.
On peut tromper 1000 fois une personne mais on ne peut pas tromper…
Mais au fait, c’est quoi le greenwashing ? “Je dirais que c’est une prise de parole sur des arguments environnementaux qui est exagérée au regard de la réalité. On peut parler aussi de blanchiment d'image environnementale et sociale.” précise Céline Réveillac. Quand je lui demande quels sont les derniers exemples de greenwashing qui l’ont le plus agacée, Céline répond : “Il y en a des dizaines au quotidien ! Communiquer sur l’argument écologique sans verser dans le greenwashing est un exercice périlleux.” Au-delà d’un usage abusif des bons mots teintés de vert qui font vendre (“durable” ou “responsable” pour ne citer qu’eux), Céline s’agace surtout des grosses entreprises “semeurs de doute” qui font du “washing”. Nous parlons du groupe pharmaceutique Pierre Fabre, très engagé dans l’environnement, travaillant avec des labels et normes très forts, qui dans le même temps est à l’origine et soutient un projet d’autoroute (en l’occurrence l’A69) qui n’est pas soutenable d’un point de vue écologique. Dans la même veine, Céline évoque une campagne de publicité Crédit Mutuel de 2022 dans laquelle la marque se targuait de proposer des cartes bancaires en plastique recyclé ; de la poudre aux yeux censée faire oublier aux clients les vrais enjeux et l’impact catastrophique du secteur bancaire, financier privilégié des énergies fossiles qui rend de fait incompatible l’activité avec un début d’engagement écologique. Que penser enfin de la Fédération Française des Jeux qui, en partenariat avec le gouvernement, lance un loto de la biodiversité. L’idée ? Acheter un nouveau jeu de grattage baptisé “Mission Nature” permettant de financer 20 projets de préservation et/ou de réhabilitation d'écosystèmes et de populations d'animaux. Pour Céline Réveillac : un mélange des genres de mauvais goût entre les jeux d’argent qui posent des problèmes d’addiction, et le financement d’actions d’intérêt général.
Oui, mais on ne savait pas
Le greenwashing est-il le fait de marques beaucoup trop filoutes ou simplement ignorantes ? “Je pense que dans 90% des cas, ce n’est pas volontaire. En particulier chez les jeunes marques dites engagées qui se trouvent sincèrement très vertueuses et font beaucoup d’effort pour essayer d’être le plus responsable possible. Les marques doivent rester humbles. Elles ne sauveront pas la planète, ni ne contribueront à la sauvegarder. Au mieux, elles vont moins polluer. Mais tout produit a forcément un impact, il ne peut pas être en lui-même écologique ou écoresponsable. Dans le fond, la question qu’il faut se poser est : est-ce que dans un monde dans lequel il y a des limites planétaires, l’activité de la marque est réellement compatible? Les efforts qu’elles déploient sont-ils proportionnés par rapport aux urgences écologiques?” Ok, mais le but d’une marque étant de vendre au maximum, est-il seulement possible de pratiquer une communication vraiment responsable ? “Oui il y en a qui y arrivent très bien ! Je pense à la marque de vêtements Loom qui reste sur son cœur de métier et met les budgets dans de la recherche et développement pour améliorer leurs produits. Elle communique sur leurs progrès de façon très humble, pédagogique et transparente et sur leurs produits de façon très factuelle. Quand on fait du marketing et de la communication, on dit en permanence qu’il faut parler aux émotions et faire rêver. En publicité, je préfèrerais qu’on s’en tienne aux faits”.
Clap de fin pour la pub ?
Puisque la publicité nous pousse toujours plus à consommer, faut-il souhaiter son interdiction ou simplement mieux l’encadrer ? “Je considère qu'elle a sa place dans l'économie, mais il faut l'encadrer oui, afin de réduire sa place dans notre société. Car au-delà du greenwashing, ce qui pose problème est le fait d’être confronté systématiquement à de la publicité dans notre quotidien avec des incitations permanentes à la consommation : dans la rue, à la radio, à la télévision ou sur internet.” Mettre des garde-fous, c’est le travail que Céline mène avec l’association qu’elle a co-créée “Communication et démocratie” et au sein de laquelle elle travaille sur des actions de lobbying pour plus de sobriété. Dans les tuyaux notamment, des propositions visant à supprimer la publicité pour les produits climaticides mais aussi modérer la place de la communication des multinationales omniprésentes sur tous les canaux de publicité, et invisibilisant de fait la présence des associations ou des petites entreprises qui n’ont pas les mêmes moyens d’expression. Est-ce à dire que les lois actuelles ne sont pas assez ambitieuses ? “Je dirais qu’en France, nous sommes plutôt premiers de la classe. Malheureusement ça ne veut pas dire que nous sommes très bons non plus !” regrette Céline qui juge insuffisante la loi Climat et résilience de 2021 notamment sur l’autorisation, contraire à l’avis1 qu’avait rendu l’ADEME (l’Agence de la transition écologique), de l’emploi de certaines mentions comme “neutre en carbone”. Quant au droit européen, si les dernières discussions entre Parlement et Conseil européen font espérer un durcissement de ces mentions environnementales trompeuses, encore faut-il qu’elles tiennent le choc face au travail de sape des lobbies.
Du mieux donc ! Mais encore du pain sur la planche pour instaurer plus de sobriété dans la publicité. Ce qui n’empêche pas Céline Réveillac d’imaginer son monde rêvé de Petit résistant : “Je rêve d’un monde où nous n’aurions pas besoin de publicité pour acheter. Nous achèterions uniquement ce dont nous avons besoin et l'on échangerait directement avec le commerçant qui nous conseillerait. La publicité n'existerait que pour faire passer des messages d'intérêt général ou citoyenneté comme la sensibilisation à l'activité physique ou la prévention contre les dangers de substances cancérigènes par exemple. ” Au diable donc les stimuli commerciaux et place à la modération.
🤓 L’actu qu’il fallait pas louper
Décryptage de l’actu qui m’a le plus chauffée.
L'association de défense des consommateurs Consommation Logement Cadre de Vie (CLCV), qui a étudié 207 produits destinés aux moins de 3 ans " en juin et juillet 2023 dans 9 enseignes de la grande distribution", regrette la présence trop importante de sucres, additifs et arômes par rapport aux recommandations de l’OMS.
🕵🏽 Des allégations nutritionnelles trompeuses pour les consommateurs.
CLCV constate que 80 % des produits étudiés présentent une mention “santé” et/ou nutritionnelle, que ce soit une allégation réglementaire ou marketing. Petit florilège : “Réduit en sucre”, “Sans sucres ajoutés”, “Spécialement adaptés aux besoins de bébé”, “Exprès pour les bébés”. Evidemment, avec de telles promesses, croyez bien qu’un jeune parent qui n’a pas dormi depuis 3 jours et qui se retrouve planté dans le rayon alimentation bébé, ne peut pas imaginer le début d’une entourloupe. L’association alerte pourtant : “Ces mentions laissent penser que le produit a été développé avec le concours de scientifiques, médecins ou diététiciens. Cela participe à créer le sentiment que les aliments infantiles sont nutritionnellement supérieurs aux produits d’alimentation générale ou au fait maison”. Or, la CLCV déplore que cela ne soit pas nécessairement le cas du fait d’une réglementation européenne2 trop peu contraignante par rapport aux recommandations de l’OMS.
🍯 Des produits pour bébés contenant trop de sucres, additifs et arômes.
L’association dénonce ainsi la teneur en sucre trop importante dans les produits pour bébé étudiés (“ 85 % des produits laitiers et 77 % des snacks sucrés ou salés étudiés contiennent des ingrédients sucrants”, qu’il s’agisse de sucre, de sucre canne, de dextrose ou encore de caramel notamment) regrettant au passage “la multiplication des produits de type snacks et desserts dans les rayons d'alimentation infantile (qui) normalise le concept de grignotage et la prise de desserts sucrés en fin de repas”. Agaçant.
CLCV regrette également que 38 % des produits étudiés contiennent des additifs : épaississants, émulsifiants et correcteurs d’acidité. Les produits laitiers sont les plus concernés. À noter que la réglementation sur les additifs pour l’alimentation infantile restreint leur présence : 65 sont autorisés contre 320 en alimentation classique. 37 additifs parmi ceux-ci ne sont pas autorisés en bio. Même constat sur les arômes avec 30 % des produits testés qui en contiennent.
💡 Ok. Alors concrètement, comment remplir son caddie baby food ?
La CLCV appelle des ses vœux un durcissement de la réglementation européenne qui devrait se conformer a minima aux recommandations de l’OMS. En attendant que les choses bougent, pas question de vous laisser médusé au rayon des petits pots, voici quelques pistes pour acheter mieux. Selon l’association :
👉 Pour les laitages, conformément aux recommandations de Santé Publique France, il n’est pas nécessaire de donner un produit “spécial bébé”, notamment car ces derniers sont plus chers. Des yaourts au lait entier, des petits-suisses ou des fromages blancs non sucrés feront largement le job.
👉 Au rayon compotes, inutile également de choisir un produit “spécial bébé”. Opter pour “des purées de fruits (sans sucres ajoutés par définition) biologiques des rayons généralistes”, de préférence en bocal en verre : plus économique et écologique que l’option gourde façon “Pom’pot”.
👉 Zappez les snacks a minima pour les enfants de moins de 12 mois.
👉 Sur la question des additifs, la CLCV est claire : choisir des produits destinés aux enfants en bas âge ET bio est nettement plus protecteur.
👉 Concernant les arômes, retournez le paquet pour repérer une éventuelle aromatisation du produit (même quand il est présenté comme nature). “L’OMS pointe du doigt l’emploi d’arômes en alimentation infantile car ils peuvent influencer les préférences gustatives des enfants et leur appétence ultérieure pour des aliments plus gras et sucrés. Sont en particulier citées comme inadaptées les aromatisations vanille, cannelle, miel, chocolat, cacao, stracciatella ou encore cacahuète.”
👉 Alerte greenwashing : si vous voyez les mentions “sans conservateurs, édulcorants et colorants”, il n’y pas de quoi applaudir des deux mains. Ces trois substances sont simplement interdites par la loi dans les produits infantiles. Inutile donc de se vanter d’une conformité légale et faire de cela un argument de réassurance pour jeune parent en détresse. 😉
Claro ? Haut les cœurs !
🗣️ Paroles d’experte - Par Sophie Janvier
🗞️ Le récap’
Un condensé d’infos engagées à consommer sans modération.
👉 🍽️ Home made. La ministre déléguée en charge des PME et du Commerce Olivia Grégoire annonce dans un entretien à la Tribune vouloir mettre en place l’obligation de signaler les plats non préparés sur place dans les restaurants, sous peine d’amende. Depuis 2014, un logo “fait maison” existe pourtant, mais il était facultatif, peu utilisé et lisible pour les consommateurs. Cette approche contraignante, dont la ministre souhaite l’entrée en application en 2025, répond à trois objectifs : protéger le consommateur, défendre les restaurateurs qui cuisinent leurs plats sur place et préserver la gastronomie française. Con-som-mer mieux !
👉 Selon un sondage réalisé par Kid Expo3, les Français dépenseront en moyenne 124 euros de cadeaux pour leurs enfants contre 143 euros en 2021. Deux facteurs expliquent la tendance : l’inflation bien sûr mais aussi la conscience écologique des parents. Six parents sur 10 (61 %) disent par exemple s’interroger sur le besoin et l’utilisation avant d’acheter et 59 % rapportent avoir recours à la seconde main. Quand consommation responsable rime avec… économie !
🙅🏽♀️ La fausse bonne idée
Je débunke pour vous la fausse bonne idée du parent qui veut super bien faire. Because nobody’s perfect. Sauf ma mère.
Vous aviez bien compris que le plastique n’était pas fantastique mais vous n’aviez pas pigé que le bambou n’était pas forcément un bon coup ? On vous dit tout.
L’histoire commence en février 2021 quand la Commission Européenne annonce interdire la mise sur le marché de la vaisselle en fibres de bambou qu’on accuse de contenir des molécules nocives pour la santé : les fibres de bambou devant être agglomérées, les fabricants utilisent des liants type résine plastique composée de mélamine et formaldéhyde. L’un étant classé comme cancérigène possible et l’autre comme cancérogène avéré par le Centre international de recherche sur le cancer. Miam.🤦♀️
Quelques semaines plus tard en France, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) enfonce le clou en annonçant également interdire cette vaisselle réutilisable en bambou mélaminé, qui comprend notamment nombre d’articles destinés aux enfants.
All good donc ? Bof. Le 28 novembre 2022, la Commission européenne publie un rapport sur une opération d’interception de vaisselle en faux bambou nocif pour la santé et menée dans 21 pays de l’Union européenne, dont la France. 748 cas sont détectés, dont la majorité provient de Chine. En plus de pointer du doigt le risque pour la santé, la Commission européenne souligne qu’« il s’agit d’une publicité mensongère qui induit les consommateurs en erreur en leur faisant croire qu’ils achètent des articles respectueux de l’environnement ». Méfiance donc, il pourrait bien avoir de la vaisselle mi-plastique, mi-bambou qui traîne encore dans vos tiroirs ou dans les magasins.
💡Alors quelles options vaisselles pour les enfants ?
👉 Si vous êtes bambou addict et refusez de vous séparer de votre dernier lot de vaisselle en fibre de bambou, fine. Évitez au moins de passer les contenants au micro-ondes car c’est lorsqu’elle est chauffée que la matière est la plus nocive.
👉 Porcelaine, verre, céramique et inox (attention à ne pas chauffer mais peut être jeté en l’air et par terre sans risque de casse, donc reste une option intéressante pour les minus✌️), sont les options 100% clean.
👉 La vaisselle en silicone est, jusqu’à preuve du contraire 😅, ok. Par principe de précaution, on évitera toutefois de la chauffer.
🎁 C’est cadeau !
Parce que vous avez mieux à faire que des recherches Google, je sélectionne pour vous des marques qui prônent la location et militent pour la circularité.
En France, 3,3 milliards de vêtements, chaussures et linge de maison ont été mis sur le marché en 2022, contre 2,8 milliards en 2021, selon l'éco-organisme Refashion. Une gabegie qui n’est bonne ni pour la planète, ni pour votre espace mental et vital. Pensées pour le balai des fringues à trier, à ranger et à archiver tous les 6 mois. Bref, si la location est encore loin d’être rentrée dans les mœurs, il se pourrait qu’il faille compter sur cette solution qui a tout bon pour les prochaines années. La preuve en est même que les marques mastodontes s’y collent. Tour d’horizon des solutions.
Cooooup de cœur pour Lili and Jude qui propose un service de location permettant de louer des vêtements de bébé de marques éco-responsables en créant un abonnement mensuel totalement flexible et sans engagement. La sélection de marques est particulièrement pointue, cool et tendance (Marsou, Mini Rodini, Bobo choses, Upé pour ne citer qu’elles). Seul défaut : pour le moment le service n’est proposé que pour les enfants de 0 à 36 mois. Plus vite, on en veut pour les plus grands !
2- En Boucle
En Boucle propose une alternative économique et écoresponsable pour habiller vos enfants de 0 à 8 ans avec style, avec des kits par évènements : cérémonie, vacances à la plage, à la montagne, séance photo, déguisement… Fastoche.
Besoin d’une combinaison de ski l’hiver, d’un joli pilote pour les 4 mois d’hiver, d’une tenue chic et choc pour un évènement ? Dans l’année, il y a mille occasions de louer une tenue plutôt que de l’acheter.
4 - Petit Bateau location
Saviez-vous que Petit Bateau proposait un service de location depuis 1 an déjà ? A l’origine de l’idée, un constat « Un bébé change 6 fois de taille entre 0 et 12 mois et nos produits ont une durée de vie supérieure à la durée d’usage. Pourquoi acheter et revendre alors que l’on peut louer. » explique Delphine Lebas, directrice RSE de Petit Bateau. La location par Petit Bateau, c’est un système d’abonnement avec 4 types de box "toutes prêtes" et des box à la carte pour les bébés de 0 à 24 mois. Tentés ?
Suite au prochain numéro !
🧡 Aux nouveaux venus, bienvenue ! On vous raconte tout du pourquoi du comment du média des Petits résistants, dans notre première lettre.
💡Pour être sûr de recevoir votre-désormais-email-préféré, on vous conseille d’enregistrer l’email : lespetitsresistants@substack.com, dans votre carnet d’adresses.
💬 Cette newsletter est pensée comme un canal de communication privilégié entre vous et le média. N’hésitez pas à me souffler des mots doux indignés : jeanne@lespetitsresistants.com
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https://librairie.ademe.fr/changement-climatique-et-energie/4524-avis-de-l-ademe-la-neutralite-carbone.html
Dans l’Union européenne, le secteur de l’alimentation infantile est régi par le règlement cadre relatif aux groupes de population spécifiques n°609/2013.
Sondage de l'agence Générations & Co auprès de 750 personnes interrogées du 4 au 11 octobre 2023.